Développement durable
mes expériences
" chacun doit être efficace sur sa zone d’influence "
— Jean-Louis Etienne — Université d’été 2019 GS1
Consciente que les sujets environnementaux sont essentiels pour l’avenir de nos sociétés, Marine a choisi d'aider les entreprises à prendre leur part de responsabilité, et à s'impliquer dans ces questions actuelles majeures.
C’est ainsi qu’à partir de 2011, Marine a pris en charge ce domaine pour la FEVAD.
Cela a débuté par la mise en place d’une charte développement durable, sur laquelle s’appuyait un audit par EY et une certification des acteurs.
Ensuite elle a redynamisé la commission environnement de la FEVAD.
TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
Poussée par la volonté d’évolution responsable, Marine a coordonné l’action de la FEVAD pour le secteur du E-commerce, autour de l’adoption de la loi transition énergétique pour la croissance verte du 17 août 2015.
RESPONSABILITÉ ÉLARGIE
DES PRODUCTEURS, FILIÈRES REP
La question de la responsabilité élargie du producteur, et des différentes filières REP a pris une part importante dans les travaux de la FEVAD. L’objectif était double : il fallait à la fois mobiliser les acteurs, d’un secteur jeune, sur ces sujets, mais également faire prendre conscience des spécificités de la vente à distance dans la distribution, aux pouvoirs publics et autres parties prenantes des filières.
Cela a été particulièrement complexe dans la filière des déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE). Pourtant une évolution significative a eu lieu sur plusieurs années.
Cela a commencé par la signature d’un accord de partenariat avec les syndicats de fabricants sous l’égide du ministère de l’économie en 2011.
La non sur-transposition de la directive 2012/19/UE du 4 juillet 2012 en matière de reprise a permis d’obtenir un engagement renforcé des protagonistes. Les acteurs majeurs du E-commerce, grâce à ses initiatives, ont rattrapé peu à peu leur retard sur le sujet de l’affichage de l’éco-participation et de la reprise des DEEE.
La question des emballages des colis dans le e-commerce a également fait l’objet d’une attention particulière. L’idée était d’aider au mieux les commerçants à adapter leurs emballages aux objets livrés, pour éviter notamment le suremballage. Cela supposait évidement un renforcement de la solidité des emballages pour éviter la dégradation des produits, sans pour autant négliger la recyclabilité de ceux-ci.
LE RENFORCEMENT DU PARTENARIAT AVEC LES ECO-ORGANISMES
Pour faire en sorte que les parties prenantes des différentes filières comprennent au mieux les enjeux du E-commerce, il était nécessaire q’une pédagogie adaptée soit mise en place.
Celle-ci passait inévitablement par un partenariat étroit avec les éco-organismes censés représenter les metteurs en marché.
L’objectif a été qu’un dialogue étroit s’installe entre la fédération et l’éco-organisme :
à la fois grâce à une participation active aux différentes groupes de travail mais aussi une représentation dans les instances dirigeantes.
Ainsi Eco-emballage, Ecofolio, réunis par la suite sous le nom de Citéo, mais aussi EcoTlc, ERP ou Ecosystèmes, Ecomobilier et Valdelia, furent des interlocuteurs quotidien privilégiés.
Marine a participé au réagrément de ces filières ce qui constitue un moment de négociations multiparties intense.
LA MISE EN AVANT D’ACTEURS VERTUEUX
DU E-COMMERCE
La mise en place d’un partenariat avec L’Essec et la chaire produits de grande consommation pour le prix de la distribution responsable en 2014, renouvelé en 2016 a permis aux acteurs du E-commerce de faire reconnaître leurs projets vertueux.